Le 24 avril 2003, journée anti-impérialiste,
comme vient de me le rappeler opportunément notre ami Djillali Benchikh, nous
avons perdu un grand poète, un grand intellectuel, et un opposant, de la
première heure, à la dictature, Ahmed Azzegagh. Il en fallait de la conviction,
et du courage, en effet, aux premières années de l'indépendance, pour dire non
à Ben-Bella, alors porté aux nues aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur du
pays.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire